C’est dans le village de Bréhémont que votre aventure commence. C’est un point de départ (ou d’arrivée) idéal puisqu’ici, se situe la jonction entre la Loire à Vélo et l’Indre à Vélo.
En chemin vers Azay-le-Rideau, vous trouverez le singulier Musée Maurice Dusfresne, abritant des véhicules, armes et affiches ayant traversé les siècles (et un restaurant !).
En poursuivant votre route, vous passerez tout près du Château de l’Islette, à une dizaine de kilomètres de là. Découvrez alors ce charmant coin de nature issu de la Renaissance qui a jadis abrité les amours de Camille Claudel et Auguste Rodin, tous deux sculpteurs de renom du XIXe siècle.
Votre prochaine escale se fera dans le village d’Azay‑le‑Rideau. Prendrez-vous le temps d’observer son Château Renaissance flottant sur l’Indre ?
Peut‑être préférerez‑vous la Vallée Troglodytique des Goupillières (ferme creusée dans la roche datant du Moyen-Âge) à la sortie du village ?
Le village de Saché vous invite à découvrir un lieu insolite : le Musée Balzac, dédié à cet auteur ayant marqué le XIXe siècle. Vous aurez l’occasion d’y contempler diverses expositions au fil des événements culturels proposés.
À Pont-de-Ruan, vous reconnaîtrez peut-être l’authentique Manoir de Vonnes qui a inspiré Clochegourde dans Le Lys dans la vallée de Balzac.
Suivez encore une fois les pas de l’auteur, cette fois à Artannes-sur-Indre, dans la Rue du Bol de Lait où il a lui-même fait une escale… avant une pause au Château des Archevêques. Juste avant d’y arriver à à Montbazon, faites donc un détour par le Château d’Artigny, le plus récent des châteaux de la Loire.
Montbazon a la particularité d’abriter le plus ancien château de Touraine, la Forteresse édifiée à la fin du Xe siècle par Foulques Nerra (ne pas manquer les animations reconstituant de façon humoristique la vie au Moyen-Âge !). Après un passage par les typiques ruelles des Anges et rue des moulins, direction Veigné ! La commune abrite un imposant moulin et une église à l’étonnant clocher au toit en pierre, comme à Esvres, la commune voisine.
A Esvres, justement, le parcours passe au pied d’une éolienne Bollée superbement restaurée : grâce à des bénévoles passionnés, on peut visiter sa mise en fonction le samedi matin et son arrêt le dimanche soir.
Prenez le temps pour une petite escapade dans le bourg de Cormery. Vous pourrez passer sous la tour Saint Paul et découvrir les vestiges de l’ancienne abbaye du VIIIe siècle. Et pour reprendre des forces, arrêtez-vous dans l’une des deux boulangeries pour déguster les fameux macarons de Cormery…
A Truyes, jetez un œil au joli clocher (XIe et XIIe siècle).
Venez découvrir ensuite la commune très escarpée de Courçay, traversée par l’Indre, que Balzac surnommait « La Petite Suisse Tourangelle ».
Le long mur que vous longez en arrivant à Reignac-sur-Indre cache un château construit à partir du XVe siècle. Vous l’apercevrez en descendant dans le bourg. Celui-ci, comme le manoir de la Follaine et le château à Azay-sur-Indre, tous érigés à partir de la même époque, faisait partie d’un fief dont le dernier seigneur, à la fin du XVIIIe siècle, n’est autre que le Marquis de La Fayette, héros de l’indépendance américaine.
A Chambourg-sur-Indre, au lieu-dit de l’Ile Auger, une halte s’impose ! La traversée de l’Indre se faisait au Moyen Âge sur un pont dont vous verrez les imposants vestiges. Ce « Pont romain », date en réalité du XVe siècle !
Loches, ville royale, vous attend.
En arrivant à Loches, vous pouvez vous diriger vers l’ancienne ville royale ou bien continuer tout droit pour regagner directement Beaulieu-lès-Loches.
Entrer dans Loches, c’est pénétrer par la grande porte dans l’Histoire de France, avec ses fastes royaux, ses troubles, et… ses amours ! Perchée au-dessus des ruelles de la ville et entourée de hauts remparts, la Cité royale vous présente différents visages. D’un côté, la forteresse du comte d’Anjou Foulques III Nerra, imposant chef d’œuvre de l’architecture militaire, avec son donjon millénaire de 36 m de haut. De l’autre, le logis royal, qui a vu défiler les plus illustres personnages dès le XVe siècle : les rois Charles VII, Louis XI, Charles VIII, Louis XII et même François Ier, la reine Anne de Bretagne, Jeanne d’Arc, etc. À la fin de la Guerre de Cent Ans, le logis a également accueilli les amours de Charles VII et Agnès Sorel, première favorite royale de l’Histoire. La Cité royale renferme encore bien d’autres trésors, comme la Collégiale Saint-Ours, la Maison-Musée du peintre Emmanuel Lansyer, à découvrir au détour des ruelles…
En quittant Loches, vous vous dirigez vers la cité monastique de Beaulieu-lès-Loches via la rue du Docteur Martinais ou via la Prairie du Roy, espace naturel sensible, trait d’union vert entre les deux villes. Beaulieu, labellisée Petite Cité de Caractère, vous séduira avec ses ruelles médiévales et ses monuments édifiés sur les bords de l’Indre, divisée en plusieurs bras à cet endroit. Vous ne pourrez pas manquer l’imposant clocher du XIIIe siècle de l’abbaye fondée au XIe siècle par le comte d’Anjou Foulque III Nerra. Celui-ci, avec ses 63 m, est l’un des plus hauts de Touraine ! À la belle saison, profitez également des œuvres d’art contemporain exposées à ciel ouvert dans le cadre de l’événement Beaux Lieux dans la Prairie du Roy et dans la ville.
À Saint-Germain, vous passez au pied du château (XVe siècle) qui reste dans l’Histoire pour avoir été le théâtre de pourparlers royaux visant à mettre un terme à la 5e guerre de religion en 1575. Catherine de Médicis y retrouva son fils François, duc d’Alençon, pour négocier la paix qui fut signée à Beaulieu-lès-Loches en 1576, en accordant une grande liberté de culte aux protestants. La paix fut de courte durée et les luttes reprirent la même année…
Le Val de l’Indre est un joyau patrimonial exceptionnel, émaillé de villages d’où sont partis les conquérants de l’Amérique française. Le Château de Saint-Cyran-du-Jambot fut le berceau de la famille Franquelin et de Mgr de Laval, premier évêque de la Nouvelle-France. Jean-Baptiste Franquelin, cartographe du roi de France et compagnon de Frontenac, mit ses talents au service du Québec.
A Châtillon-sur-Indre, la Tour de César, vestige le plus imposant du château fort construit par le roi d’Angleterre Henri II Plantagenêt vers 1160, se détache dans le paysage et vous invite à l’ascension vers sa terrasse qui offre un splendide panorama à 360° sur la campagne environnante et une vue plongeante sur la ville médiévale fortifiée.
Vous dominerez :
En allant vers Le Tranger, le Prieuré de Saint-Martin-de-Vertou et son mémorial aux pionniers de la Nouvelle-France constituent une autre balise sur la route du Québec.
Entre Clion et Le Tranger, le Château de l’Isle-Savary est conçu sur un plan carré ; dans son état actuel, construit en une seule phase à la fin du XVe siècle, il est sans doute l’un des meilleurs témoins de l’avènement de la Renaissance en Berry. A Clion, le manoir de Marteau mérite un détour. Sur un éperon rocheux, Palluau se distingue par son superbe château, dominé par sa haute tour du XIIe siècle qui rappelle la suzeraineté des comtes d’Anjou. Le logis majoritairement du XVe siècle est flanqué de 2 tours du XIVe siècle. L’église St-Sulpice, gothique, et le Prieuré St-Laurent (roman, crypte du XIe et superbes fresques des XIIe et XVe siècles) méritent une visite…
En poursuivant votre route vers Buzançais, vous ne manquerez pas de visiter l’abbatiale de Saint-Genou.
Avant de prendre de la hauteur en traversant Saint-Genou, vous passerez derrière l’église de l’ancienne abbaye du XIIe siècle, vous longerez le canal du moulin et passerez à proximité du musée de la porcelaine. A la sortie du village, vous trouverez la lanterne des morts d’Estrées.
Si vous souhaitez vous détendre et vous rafraîchir, au carrefour au bout du canal en prenant direction Argy, à 2 km, vous accédez au plan d’eau de Saint-Genou. Il vous propose plage et baignade (surveillée en période estivale) ainsi qu’un espace réservé à la pêche, aires de jeux et de pique-nique.
Une fois observé de haut la vallée de l’Indre, vous allez pouvoir, en roue libre, vous reposer et vous laisser glisser en direction de Buzançais. Vous longerez au plus près la rivière Indre notamment au cœur de la ville. Buzançais vous propose un riche patrimoine : le pavillon des Ducs, la Chapelle Saint-Lazare du XIIe siècle, le Prieuré Sainte-Croix du XVe siècle et l’église du Sacré-Cœur… La ville dispose d’un patrimoine arboré diversifié à découvrir, avec plusieurs arbres remarquables âgés de 40 à 300 ans.
En arrivant de Saint-Genou, et avant de bifurquer vers Buzançais, après avoir franchi la rivière, vous avez la possibilité de vous diriger vers Argy où vous passez devant le château (Pré-Renaissance de style Louis XII) et rejoignez la gare pour découvrir et emprunter le Train Touristique de Bas-Berry. Ce train à voie métrique du début du XXI siècle relie aujourd’hui à travers prés et bois Argy à Valençay. Il circule en période estivale.
A la sortie de Buzançais, vous longerez la rivière jusqu’à Bonneau pour rejoindre la Chapelle-Orthemale. Vous pouvez vous diriger vers le parc naturel régional de la Brenne via Vendœuvres et l’étang de Bellebouche. Vous pouvez ainsi découvrir la Brenne à vélo avec plusieurs boucles cyclables balisées à votre disposition.
Si vous décidez de poursuivre directement vers Villedieu-sur-Indre, votre route vous conduira à travers un paysage de culture céréalière et, avant le lieu-dit Chambon, vous passerez devant le Château de Chamousseau et sa ferme.
A Villedieu-sur-Indre, vous découvrirez l’église Saint-Sébastien à proximité de l’ancien prieuré Saint-Sauveur. Vous apercevrez les vestiges du Château de Villedieu et, si vous le souhaitez, le golf du Val de l’Indre vous propose son parcours 18 trous sur les anciennes terres du château.
Vous approchez de Châteauroux en empruntant plusieurs chemins roulants vous permettant de profiter du calme de la nature avant de rejoindre, à Saint-Maur, l’agglomération castelroussine.
Châteauroux se révèle à vous au détour d’un chemin puis d’un sentier tracé vous invitant à profiter des beautés naturelles de la Vallée d’Ebbes, que vous aborderez par la prairie Saint-Gildas.
Dominant fièrement les rives de l’Indre de ses volumes puissants, caractéristiques d’une architecture gothique retravaillée, le Château Raoul n’a de cesse de contempler son reflet dans les flots paisibles de la rivière depuis le Xe siècle. Une fois celle-ci franchie, une traversée nord-sud de Châteauroux s’ouvre à vous. De la porte Saint-Martin à la Vierge dorée de l’église Notre-Dame, vous serez séduits par ce parcours en cœur de ville qui vous révèlera tous les trésors de Châteauroux, entre quartier historique et ville contemporaine.
La nature vous suit par-delà la rivière et les remparts de la ville, au coeur de la forêt domaniale de Châteauroux, plus grande chênaie de France. Celle qui s’étend essentiellement sur les communes d’Ardentes et du Poinçonnet sur plus de cinq millle hectares vous propose un agréable parcours en sous-bois. Celui-ci vous conduira de la ravissante petite église romane Saint-Martin d’Ardentes aux jolies verrières et clés de voûte de l’église Saint-Maximin de Jeu-les-Bois. Les passionnés d’ornithologie se laisseront séduire par un léger détour vers l’étang de Lys-St-Georges et son observatoire aux oiseaux.
La suite du parcours invite à un voyage littéraire et sportif, où vous passerez des plaines de la champagne Berrichonne au paysage vallonné du Boischaut Sud. Un itinéraire où vous ne serez jamais seul, entouré de la romancière George Sand ; c’est elle qui vous guidera dans son pays de bocage qu’elle aimait appeler « La Vallée Noire ». Aux différentes étapes, vous retrouverez le souvenir de cette femme engagée, grâce aux nombreux sites qui ont servi de cadres à ses romans.
Nous voici partis en direction de Mers-sur-Indre, lieu d’inspiration de George Sand pour son roman « La Mare au Diable », un petit détour à Lys-St-Georges est vivement conseillé. Là, vous pourrez déjeuner à une « table gourmande du Berry », découvrir le château XVe où Ludovic Sforza a langui dix-huit mois et contempler un très vaste panorama sur la vallée.
Au Moulin d’Angibault, le temps s’est arrêté ; une pause champêtre au pied de la roue du moulin s’impose. A moins que vous ne préfériez la fraîcheur de l’église de Vic ; derrière son grand clocher se cachent de magnifiques fresques datant du XIIe siècle.
A Saint-Chartier, vous rencontrerez Tiennet ou José, joueurs de cornemuses et héros du roman « Les Maitres Sonneurs », partis à la recherche de la musique dans un long parcours initiatique qui les mènera des caves du château jusque dans le Bourbonnais !
Votre prochaine étape est le village de Nohant. Terre patrie de George Sand depuis son enfance, le Domaine national fait partie des lieux incontournables à visiter. Vous y trouverez des guides passionnées par cette grande dame, une maison à échelle humaine qui a accueilli tant de célébrités et un parc de plus de 5 hectares.
Les pas de la romancière vous mèneront jusqu’à La Châtre, où elle rendait régulièrement visite à ses amis berrichons. Vous trouverez ici une petite ville pittoresque, riche en patrimoine qui ne manquera pas de vous étonner, à découvrir absolument !
Vous arrivez à la dernière partie du parcours menant à la source de l’Indre, transition entre le département de l’Indre et celui du Cher. Mais avant de boucler le voyage, il reste encore des univers à explorer. Le bocage va devenir plus vallonné, découvrant les premiers contreforts du Massif Central.
Toujours guidé par George Sand, vous passerez à Briantes, décor d’une rocambolesque aventure qu’elle raconta dans son roman « Les Beaux Messieurs de Bois Doré » et qu’elle situa dans le château (privé) datant du XVe siècle. Mais vous apercevrez surtout le pigeonnier qui se compose de 2500 boulins (petites niches en poterie), pouvant abriter un couple et deux petits.
L’itinéraire commence à devenir plus sportif en arrivant à Pouligny Notre Dame. Sur votre route, bien cachée sous la vigne vierge, on aperçoit la tour Gazeau qui faisait partie d’une imposante forteresse militaire qui était l’un des fiefs les plus anciens de la châtellenie de Sainte-Sévère, décrite dans le roman Mauprat.
Un arrêt à la base de loisirs de Ligny est vivement conseillé pour reprendre des forces, pique-niquer ou encore s’initier au téléski.
Et puis Sainte-Sévère-sur-Indre, village vedette de cinéma, vous accueille. En 1947, les habitants eurent la surprise de voir Jacques Tati arriver avec techniciens, acteurs et matériel pour le tournage du film « Jour de Fête ». Entrez dans l’univers du film et poussez la porte de la « Maison de Jour de Fête » qui retrace cette belle aventure qui a constitué durant un été une fête de chaque jour et mobilisé tous les habitants du village.
Plus loin, Perassay se dévoile, paysage entrecoupé de haies, d’arbres typiques où quelques murets de pierres sèches et d’anciens bâtiments constitués de la roche principale du sous-sol, le Gneiss, rappellent la proximité du Massif Central. C’est là, à Saint-Priest-la-Marche, que l’Indre prend sa source et que se termine votre pérégrination sur l’Indre à Vélo stricto sensu.
Nous vous invitons maintenant à quitter la vallée de l’Indre pour rejoindre la Creuse où d’autres itinéraires cyclo vous permettront de poursuivre votre périple. Choisir de poursuivre votre itinéraire en Creuse, c’est choisir de rester sur les traces de Georges Sand, mais pas que.
En rejoignant le Tour de Creuse à vélo depuis l’étape n°4, vous pénétrez tranquillement dans la campagne creusoise où la nature est omniprésente. Aux abords de Boussac-Bourg, vous pourrez faire une halte dégustation, selon la saison, pour déguster les myrtilles fraîches du Trimoulet.
C’est à Boussac que vous découvrirez le château où séjournèrent George Sand et son amant Prosper Mérimée. Sous le charme du château, George Sand y trouva l’inspiration pour écrire son roman « Jeanne » et ce sera également la romancière qui y découvrit les célèbres tapisseries de la dame à la licorne. Dès lors que vous quitterez Boussac pour vous diriger vers Toulx Ste Croix, votre ascension sera douce et progressive avec un dénivelé positif de 283 mètres.
Sur votre parcours, avant de rejoindre le village de Toulx, vous pourrez faire une halte aux Pierres Jaumâtres. Vous pourrez déposer vos vélos au Chalet et gravir le Mont Barlot. Ce site naturel révèle un impressionnant amoncellement d’énormes blocs de granit. Reprenez des forces en profitant du panorama depuis la pierre dédiée à Hesus, devenu aujourd’hui la Boussaquine qui offre 14m de panorama sur la vallée de Boussac.
Savourez votre descente avant de reprendre votre vélo pour atteindre le plus haut point du parcours au village de Toulx Ste Croix qui culmine 650m. Vous découvrirez une église scindée en deux parties, dont les vestiges de la chapelle St Martial. Cette église est gardée par des lions gallo-romains en pierre à l’entrée. A proximité, vous pourrez encore prendre de la hauteur en gravissant les 74 marches de la tour panoramique. Depuis ses fenêtres, vous apprécierez la vue à 360° allant des Monts d’Auvergne aux plateaux du Berry en passant par les monts du Limousin.
Laissez-vous maintenant porter jusqu’à Chambon-sur-Voueize haut lieu de l’art roman en Limousin. En quittant Toulx Ste Croix, sur plusieurs kilomètres, vous admirez encore quelques panoramas qui s’offrent à vous avant d’arriver au village de Bord-Saint-Georges. C’est ici que la ferme des Clautres est implantée depuis quelques années et où les gestionnaires n’ont qu’une seule ambition : conserver les espèces en voie de disparition.
Avant d’arriver à Chambon-sur-Voueize, vous traverserez le village fleuri de Lépaud qui accueille régulièrement des rassemblements de planeurs. Elle sera agréable cette arrivée en descente avec ses petits 60 mètres de dénivelés négatifs le long des Gorges de la Voueize. Vous voici arrivé dans l’antre de Ste Valérie dont les reliques sont entreposées dans l’abbatiale qui date en partie des XIe et XIIIe siècles. Baladez-vous dans les petites ruelles et traversez le pont roman où vous pourrez faire une pause le long de la Voueize.